mercredi 16 janvier 2013

Les nains au Burkina

Virée au Burkina Faso (Ouest et région des Cascades) avec Charles, Lyd et Max, pour Noël et le Nouvel An 2013

Le camion a eu un léger problème, sur la piste entre Koudougou et Sabou

Village troglodyte de Niansogoni


 
Fête des masques dans le village de Faon (organisée pour l'association Enfants du Désert, qui remet du matériel scolaire dans 8 écoles en utilisant 35 véhicules 4x4...)

Traversée de champs de coton (à gauche) et récolte du riz (à droite)

Les équilibristes sur les ponts de bois qui traversent les rizières


Cours d'eau bien raffraichissant (on en profite car on n'en voit pas beaucoup !)



Visite du village de Niantono avant de passer la nuit dans la cour de l'école. En haut à gauche, préparation de soumbala (graine de néré pour la sauce). En haut à droite, séchage du bissap (fleur d'hibiscus). En bas, pilage du mil.

Chef du village de Noumousouba, village de forgerons. Au fond, l'enfant pédale pour activer la flamme.

Visite des pics de Saindou, après 2 jours, 43 km de marche et de très beaux paysages et villages traversés

Femmes ramassant le bois, sur le chemin entre les Dômes et les Cascades

Les Stars, c'est Le Ster, aux cascades de Banfora. Champs de canne à sucre en arrière plan. 


Visite de la mare aux hippos de Bala. Journée pleine d'émotions entre l'attaque des hippos et le taxi sans direction.

Premier jour de l'an 2013 : Coucher du soleil sur le chemin retour de la Guinguette

mardi 15 janvier 2013

Chez Blaise


Vers le 11 décembre, jour de la Fête Nationale burkinabè, ont lieu diverses cérémonies de remise de médailles. Ce dimanche en plein après-midi (à lire "en plein cagnard"), nous avons donc assisté à la remise de médailles dans les jardins du Palais de son Excellence Monsieur Blaise Compaoré, Kossyam (qui signifie "à la recherche de la sagesse").



 Blaise et Chantale



Profitons-en pour un petit point d'histoire.

Si le 5 août est la date réelle de la proclamation de l’accession du pays à la souveraineté nationale, celle-ci passe inaperçue. La date est fériée mais toutes les cérémonies commémoratives ainsi que le discours à la nation du chef de l’État sont renvoyées au 11 décembre, date de la proclamation de la République au sein de la Communauté française.
Très tôt après l’indépendance, la date du 11 décembre a été préférée pour plusieurs raisons : éviter que la fête ne soit gâchée par la pluie, août étant le mois le plus pluvieux de l’année dans le pays ; les élèves dont on a besoin pour le défilé sont en vacances en août ; août est également le mois des travaux champêtres pour l’écrasante majorité de la population qui est paysanne. Si bien qu’officiellement on ne parle pas de fête de l’indépendance au Burkina mais de fête nationale. (Source : RFI)